Bien que les plus proches peuvent comprendre la complicité avec un chien de compagnie décédé, il ne leur est pas évident de comprendre la portée de la douleur engendrée par son absence. Ce qui accroît davantage l’amertume et dans de nombreux cas, le sentiment de culpabilité prend le dessus, surtout lorsque l’animal a dû être euthanasiée pour une raison indépendante de la volonté de son propriétaire.
Des impacts désastreux sur le train de vie quotidien
Selon la psychologue Julie Axelrod, perdre un chien équivaut à perdre un ami d’exception, une source d’amour infini. Ce qui engendre des effets négatifs au quotidien, beaucoup plus palpables qu’à l’issue de la mort d’un proche. La personne qui vit le deuil d’un chien, dévastée par cette perte, perd souvent tous ses moyens dans ce qu’elle entreprend. A titre d’illustration, une étude conduite en 2015, souligne la perception de visions et de sons énigmatiques du chien décédé, les jours suivants sa mort. D’où l’importance d’adopter une nouvelle animale de compagnie afin de combler le vide laissé par le chien décédé.