Décrit par ailleurs comme un « beauf » ou « réactionnaire« , Jean-Pierre Pernaut a changé de ton. « Ca, c’est de la provoc’ », lâchait-il d’abord, avant d’expliquer : « Je suis un peu provocateur. Je la cultive l’image du réac’ mais c’est le mec qui est attaché à des racines, à des cultures régionales, à des chants régionaux, à des langues régionales… », bref, « des choses qui, c’est vrai, n’attirent pas trop d’autres journalistes « , a-t-il terminé.
En revenant sur sa décision de quitter son journal, JPP d’affirmer que « Quelque part, j’aurais envie de continuer jusqu’à 150 ans, mais il faut arrêter parce que c’est idiot de vouloir s’accrocher.«